L'Irlande, la Turquie, la Roumanie, la Bulgarie, l'Espagne et... La France. Vendredi après-midi, les 257 enfants de l'école Saint-Hilaire ont célébré le lancement du projet Coménius qui les lie désormais, et pour deux ans, à six autres pays de l'Europe élargie. De la maternelle au CM2, les écoliers niortais ont lâché leurs ballons jaunes et bleus dans le ciel.
Derrière cet acte symbolique se dessine la collaboration pédagogique de sept établissements scolaires européens - en France, Saint-Hilaire s'est associé à l'école Saint-Joseph, de Bressuire, qui pilote le projet - autour d'un même thème : « Jouer, c'est parler » (*). « L'idée, c'est redécouvrir, au moment où les enfants sont très souvent derrière un écran d'ordinateur, les jeux de société, les jeux des cours de récréation », explique Guylaine Châtaignier, professeur référent Coménius, à Saint-Hilaire.
Un '' challenge ''
Concrètement, quelles formes va prendre ce partenariat, financé, pour chaque école, à hauteur de 18.000 € par des fonds européens (équipement informatique, déplacements des équipes encadrantes dans les pays concernés) ? Pas de voyages pour les écoliers de Saint-Hilaire, « un peu trop jeunes », précise la directrice, Marie-Pierre Gilbert, mais la découverte, en anglais, des jeux imaginés par leurs homologues européens ; l'échange, par visioconférence, avec des écoliers roumains, turcs ou bulgares. « L'objectif premier est de développer les compétences linguistiques, mais aussi d'insister sur la citoyenneté européenne et le multiculturalisme », précise Marie-Pierre Gilbert. Première rencontre, pour les enseignants impliqués, du 18 au 24 octobre, en Roumanie. « On ne se sait pas se qu'on va découvrir, confie, impatiente, Guylaine Châtaignier. C'est un challenge ! »
(*) « Let's play and talk », en anglais.
Matthieu Le GallDerrière cet acte symbolique se dessine la collaboration pédagogique de sept établissements scolaires européens - en France, Saint-Hilaire s'est associé à l'école Saint-Joseph, de Bressuire, qui pilote le projet - autour d'un même thème : « Jouer, c'est parler » (*). « L'idée, c'est redécouvrir, au moment où les enfants sont très souvent derrière un écran d'ordinateur, les jeux de société, les jeux des cours de récréation », explique Guylaine Châtaignier, professeur référent Coménius, à Saint-Hilaire.
Un '' challenge ''
Concrètement, quelles formes va prendre ce partenariat, financé, pour chaque école, à hauteur de 18.000 € par des fonds européens (équipement informatique, déplacements des équipes encadrantes dans les pays concernés) ? Pas de voyages pour les écoliers de Saint-Hilaire, « un peu trop jeunes », précise la directrice, Marie-Pierre Gilbert, mais la découverte, en anglais, des jeux imaginés par leurs homologues européens ; l'échange, par visioconférence, avec des écoliers roumains, turcs ou bulgares. « L'objectif premier est de développer les compétences linguistiques, mais aussi d'insister sur la citoyenneté européenne et le multiculturalisme », précise Marie-Pierre Gilbert. Première rencontre, pour les enseignants impliqués, du 18 au 24 octobre, en Roumanie. « On ne se sait pas se qu'on va découvrir, confie, impatiente, Guylaine Châtaignier. C'est un challenge ! »
(*) « Let's play and talk », en anglais.
Article extrait du Quotidien La Nouvelle République
http://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/ACTUALITE/Education/Enseignement/L-ecole-Saint-Hilaire-entre-dans-l-Europe
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